Pour arriver au lieu de notre séjour nous empruntons une autoroute flambant neuve et croisons des villes en pleine construction style immeubles années 50 (banlieue)... C'est semble t il la modernité à la sauce chinoise. Nous arrivons à Getu, un parc perdu dans la campagne. C'est étrange de voir les paysans labourer avec des bœufs dans ce pays en plein boom économique. Apparemment la croissance ne concerne pas tous les chinois. Les maisons sont d'une simplicité extrême. Notre hôtel gagne la palme de l’hôtel le plus crasseux (ils rivalisent tous de crasse) à un point que l'on aurait pas imaginé ou alors dans d'autres pays moins développés (les conditions d'hygiène sont limites). Mais on a une belle vue sur les rizieres et après l'agitation de Bangkok nous avons l'impression de passer des vacances en moyenne montagne...Nous découvrons quelques paradoxes chinois, par exemple la construction d'un téléphérique pour amener les touristes en haut de la grande arche alors qu'ici les maisons n'ont pas l'eau courante... C'est un travail de fourmis, les ouvriers taillent les pierres et les poutres à la main... Nous nous interrogeons, il y a de tels investissements dans le tourisme alors que l'obtention d'un visa constitue une épreuve.
Coté escalade il y en a pour tous les goûts dévers (ça on connait
bien...), murs raides à alvéoles dans la spectaculaire arche, dalles (là
c'est plus dur, on n'a plus l'habitude...). Nous ne sommes qu'une
poignée de grimpeurs. Nous nous sentons tous comme des
extra-terrestres!
Théo se plait bien ici, le soir on voit passer les vaches, les chèvres, les cochons, etc, c'est mieux que la télé!
Gros
bisous, on pense à vous, il parait qu'il fait un temps pourri en
France, nous on n'est pas mécontents d'avoir retrouvé un peu
de fraîcheur !
We
finally defeated the Chinese ambassy and a visa in hand, here we are
on the way to Getu (not easy to get around in a country where no one
speaks English and everything is written in Chinese ...). Our first impression in China, is the surprise over the contrasts observed. To
reach the place of our stay we take a brand new highway and crossed the
cities under construction buildings 50s (suburbs) style ... It's seems it is the modernity with Chinese sauce. We arrive at Getu, park lost in the countryside. It's strange to see farmers plowing with oxen in this country in economic boom. Apparently developement does not happen everywhere. The houses are extremely simple. Our
hotel wins the prize for the most filthy hotel (they all compete with
dirt) to a point that we would not have imagined then or in less
developed countries (hygiene is limited). But
it has a beautiful view over the rice fields and after the bustle of Bangkok it's like spending holidays in mountain ... We find some Chinese
paradoxes, such as the construction of a telepherique to bring tourists top of the high arch while here the houses do not have running water ... It is a ants' work, workers carve stones and beams by hand ... We wonder, there are such investments in tourism while the visa is so hard to obtain.Climbing there is for all tastes : over hanging walls (that we know well ...),
straight pocket walls in the spectacular arch, slabs (where it's harder, we are no more used to it ... ). We are only a handful of climbers. We
all feel like extra-terrestres. We talk together in the evening and
it makes the place a little less austere in terms of human relations
...Theo likes it here, during the evening we see cows, goats, pigs, etc., it's better than TV!Kisses, we think about you, it seems he is a rotten time in France, we're not
unhappy to have found some coolness...
bencétousimplemenprodigieux.
RépondreSupprimertraduction
Itsriliincrediboule
GdDad